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Les chenilles proces­sion­naires appar­tiennent à la famille des lépi­do­ptères (papillons) et sont les larves d’un papillon de nuit d’ori­gine médi­ter­ra­néenne. Aujour­d’hui, ces chenilles peuvent être obser­vées quasi­ment partout en France : les effets du chan­ge­ment clima­tique ont entrainé sa progres­sion sur l’en­semble du terri­toire.

Les courges sont incon­tour­nables pour la réali­sa­tion de nombreux plats d’au­tomne. En soupe, en purée ou farcie, les courges sont les fruits d’au­tomne les plus utili­sés. Atten­tion : certaines varié­tés sont cepen­dant toxiques et peuvent être dange­reuses pour la santé.

Si l’au­tomne est propice à la cueillette des châtaignes, celle-ci sont souvent confon­dues avec leurs cousins les marrons. Néan­moins, ces deux espèces disposent de carac­té­ris­tiques bien distinctes.

L’au­tomne est de retour et avec lui le froid, la pluie et le brouillard. Mais c’est aussi le retour des belles nuances de couleurs… Mais d’où viennent-elles ces nuances ? Il n’y a que l’au­tomne pour nous appor­ter des paysages jaunes, oranges ou encore roses. Ces couleurs ne sont pas là par hasard et de là, découle un méca­nisme bien précis.

De la verdure en ville, un concept appré­cié de beau­coup pour son côté esthé­tique et repo­sant. Qu’il soit public ou privé, les jardins sont de plus en plus nombreux et ont gagné l’af­fec­tion des citoyens.
Mais atten­tion, un beau jardin néces­site un entre­tien parti­cu­lier !

Les midis des 23 et 24 mai, Icade, accom­pa­gnée de CDC Biodi­ver­sité et du Muséum Natio­nal d’His­toire Natu­relle, a orga­nisé un premier atelier autour de Spipoll, l’un des 3 programmes parti­ci­pa­tives mis en place sur ses parcs d’af­faires.

Qui dit prin­temps, dit fleurs et le retour des insectes, notam­ment polli­ni­sa­teurs. Mais qu’est-ce que la polli­ni­sa­tion et qu’al­lons-nous pouvoir obser­ver en parti­ci­pant au programme de sciences parti­ci­pa­tives Spipoll ?

Bird­lab, c’est l’ap­pli­ca­tion de sciences parti­ci­pa­tives pour l’ob­ser­va­tion du compor­te­ment des oiseaux entre eux lorsqu’ils viennent se nour­rir sur les mangeoires. Et des oiseaux sur le parc de Rungis, il y en a.

En hiver, en période de froid prolongé et lorsque la nour­ri­ture se fait un peu plus rare, il est possible de donner un petit coup de pouce aux oiseaux en leur mettant à dispo­si­tion des lieux de nour­ris­sage. Atten­tion cepen­dant, il s’agit d’ar­rê­ter de les nour­rir en période de repro­duc­tion !

Quelques conseils pour un accueil opti­mal des oiseaux dans nos villes.

Cet été, l’équipe projet a été formée pour vous accom­pa­gner dans cette nouvelle aven­ture ryth­mée par les sciences parti­ci­pa­tives.